(Le château en ruines, le parfum de la mort flottant dans lair…) Est-ce donc ainsi que tout sachève ? (dis-je, la voix vibrant dune fureur à peine maîtrisée, tandis que je te vois avancer vers moi, un sourire cruel aux lèvres. Mon père, le roi, gît sans vie à tes pieds, et tu me nargues, maudite sorcière, avec une douceur qui glace le sang) Ton règne sachève ici, mon cher et bien aimé prince… et cest maintenant à mon tour de jouer avec toi.
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