Milio. Jeune homme obsessionnel, violent, colérique. Pas sa faute. Le passé y est pour beaucoup. Certains coupent les liens avec leur famille. D’autres deviennent pires qu’eux. Héritier illégitime, rejeté, il a grandi enfermé dans un institut, jusqu’au jour où il a pu s’en sortir. À la tête d’un empire qu’il ne veut pas, il fuit. Il veut vivre pour lui, changer de nom, prendre un appartement, devenir quelqu’un de plus doux. Plus humain. Compliqué. Il prend un colocataire, pensant que vivre avec quelqu’un l’aidera à s’adoucir. Une jeune femme. Rencontre rapide, échange de clés, signature. Il ne la regarde même pas. Les femmes ? Des distractions inutiles. Il s’habitue à sa présence, sans vraiment lui parler. Trop d’effort. Trop fatigant. Un soir, elle est censée être partie pour une semaine. Parfait. Mais il entend du bruit dans sa chambre. Il ouvre. Personne. Se retourne… et la voit, assise au sol, lèvre en sang, bleu sur le bras. — Qui et où ? demande-t-il, glaciale. — Personne, souffle-t-elle. Elle passe près de lui. Il lâche, sans la regarder : — Si tu ne me dis pas qui, je vais devoir m’occuper de tous ceux qui se sont approchés de toi récemment. Elle s’arrête. Étonnée. — Pardon ? Cela fait un mois qu’on vit ensemble, et c’est à peine si on s’est croisé. Continue de feindre l’ignorance, ça me va. En un geste, il lui tient le bras. Se penche au-dessus d’elle. Ses doigts frôlent sa bouche. — Ce bleu… cette lèvre… Je vais enfin m’en occuper... Il claque la porte derrière lui. Une heure plus tard, il revient. Mains rouges. Odeur métallique sur lui. — Il va falloir que tu choisisses mieux tes petits copains, souffle-t-il. Pas sûr de laisser en vie le prochain.

Lye est un jeune étudiant en art. D’une beauté troublante, intelligent, charismatique. Fils unique d’une famille aisée, il a grandi dans le confort feutré de ceux à qui tout est offert. À l’université, on le remarque, on l’envie. Les regards se posent sur lui avec admiration, jalousie ou désir. Mais Lye n’a d’yeux que pour son art. Rien d’autre ne l’émeut. Il sculpte, peint, transforme. Ses œuvres ne naissent pas de pigments. Non. Lye peint avec le sang. Il tue. Silencieusement. Froidement. Ses victimes ? Choisies pour leur beauté. Homme ou femme, peu importe. Ce qui compte, c’est l’harmonie des formes, la perfection des traits. Il les attire, les observe, les capture… puis les vide. Chaque goutte devient couleur. Chaque cri, silence. Ses toiles, exposées malgré son jeune âge, fascinent. Personne ne soupçonne leur véritable essence. Un soir, lors d’un gala, il la voit. Une femme. Sublime. Irréprochable. Elle sera sa prochaine œuvre. La nuit suivante, son art s’exprime. Une toile de plus. Une beauté figée. Mais au matin, tout vacille. Dans l’atelier, une nouvelle modèle. Elle entre. Pose. Immobile. Sa beauté n’a rien d’humain. Elle est irréelle. Lye reste figé. Pour la première fois, il ne pense ni au sang, ni à la mort. Il ne voit ni proie, ni sujet. Elle est déjà une œuvre. Vivante. Parfaite. Intouchable. Il la suit. Discrètement. Obnubilé. En fin de journée, elle quitte le campus. Le parking est désert. Parfait. Il s’approche, lentement. Un rictus aux lèvres. La plus belle œuvre de sa vie... Juste à quelques centimètres.

Kalius est un jeune homme discret. Peu bavard. Dangereux. Dernier d’une lignée d’assassins, né dans le sang, forgé pour tuer. Chaque geste précis, chaque silence maîtrisé. C’était son héritage. Mais un jour, il a tout quitté. La maison. Le sang. Les cadavres. Il a choisi la médecine. Il voulait sauver des vies, fuir le monstre en lui. Jusqu’à ce que ses parents soient assassinés. Deux ans de silence. Il disparaît. Quand il revient, il n’est plus le même. Froid. Chirurgical. Intraitable. Il reprend l’empire familial. Ouvre un hôpital privé, respectable en apparence. Mais dans une aile isolée, il expérimente. Il traque. Il torture. La piste le mène à une famille ennemie. Ils ont tué les siens. Il les détruit un à un. Le fils ? Enlevé. Lentement démembré. Chaque morceau envoyé avec un mot : > « Le prochain arrivera dans un conteneur plus petit. Enjoy. » La fille a fui. Loin du sang, loin du crime. Mais il la retrouve. Hôtel. Chambre. Silence. Elle passe devant lui. Il l’attrape. Main sur la bouche, corps plaqué contre le sien. Il pousse la porte du pied. Elle se referme. Il murmure à son oreille, voix glaciale : À nous deux… Comment préfères-tu être découpée ? J’ai prévu de jolies enveloppes pour tes extrémités… Elle se débat. Il la laisse faire. Elle ne peut pas fuir. Il savoure déjà sa peur. Elle allume la lumière. — À quoi… vous jouez ?? Il se fige. Ce n’est pas elle. Robe noire, visage inconnu. — Qui es-tu ? gronde-t-il. Elle tente de cacher sa panique : — Vous m’agrippez, vous m’enfermez… et vous me demandez qui je suis ?! Il la dévisage. Sourit. Lentement. — Une jolie proie pour m’exercer... Elle recule, tremblante. — Ne t’avise pas de m’approcher… psychopathe.

Kassius Kassius règne sur son empire comme un général sur un champ de bataille. CEO charismatique, homme d’affaires redoutable, il gère sa fortune et son entreprise d’une poigne de fer. Chaque décision est stratégique, chaque minute planifiée. Rien n’est laissé au hasard. Son nom est connu, respecté, parfois redouté. Célibataire endurci, il ne s’autorise ni attache ni distraction : l’amour est une perte de temps, les relations un coût inutile. Les conquêtes ? Éphémères. Juste de quoi satisfaire ses besoins les plus primaires. Il n’y pense déjà plus le lendemain. Un soir comme tant d’autres, seul dans son bureau déserté, il travaille sur un dossier confidentiel. La ville dort, pas lui. Son téléphone vibre. Numéro inconnu. Il lève les yeux, jette un coup d'œil et, sans lire, supprime. Certainement une ex, ou pire, une erreur. Pas de temps à perdre. Mais dix minutes plus tard, un second message retient son attention : "Kilia ! J’ai perdu mon téléphone ! Heureusement je me suis rappelée de ton numéro. Tu peux m’aider à choisir la robe ? On ne se voit pas avant le gala. Merci !” Suivent deux photos. Une jeune femme, splendide. Une robe noire. Une rouge. Kassius reste figé. Fasciné. Il va répondre qu’elle s’est trompée… puis s’arrête. Pourquoi le ferait-il ? Après tout, ce n’est pas lui qui a perdu son téléphone. Un sourire en coin, il écrit : “La rouge te va mieux.” Et c’est ainsi que, pendant une semaine, il se glisse dans la peau d’une autre. Une parenthèse inattendue, un jeu dangereux... Jusqu’au message final : “Ce soir, au vernissage du musée. On s’y retrouve.” Le musée ? Le sien. L’événement ? Le sien. Ce soir, il la verra. Et tout va se jouer. Lui dire la vérité ? Continuer le mensonge ? Une seule certitude : ce soir, il la veut.

Lykio est un assassin. Il tue pour de l’argent. Ou par loyauté. Bras droit d’un puissant cartel. Respecté. Redouté. Craint. Une cible. Un contrat. Une mort. Il parle peu. Impose. On le regarde, on se tait. À la première rencontre, on veut s’en approcher. Erreur. On s’y brûle. Mais c’est un risque que tous semblent prêts à prendre. Ce que personne ne sait : c’est lui, le véritable alpha. Pas le chef. Et c’est justement ce que le boss commence à comprendre. Les hommes du cartel le suivent, lui. Sans discuter. Ils n'obéissent plus au patron… mais à son ombre. Le chef le sent. Et il n’aime pas ça. Il veut reprendre le contrôle. Ce soir-là, Lykio est seul chez lui. Appartement perché au-dessus de la ville. Sa mère est morte la veille. Il a bu. Trop. Il a besoin de silence. Il est dangereux dans cet état. Instable. À deux doigts de tout faire exploser. Il s’effondre dans le canapé. Tête en arrière. Verre vide. Poing crispé. Silence. Puis un souffle. Quelque chose se pose contre son front. Métallique. Froid. Il ouvre les yeux. Un revolver. Et face à lui, un masque. Deux yeux vides. Un sourire à peine contenu. — Qu’as-tu fait pour que ton propre boss veuille ta mort ? Il serre les dents. Fixe l’intrus. Aucune peur. — Répète… lentement. L’autre ricane. — J’ai dit que c’était ta fin. Un dernier mot avant de rejoindre ta mère ? Le temps se fige. Lykio ne bouge pas. Mais dans son regard… plus que de la rage. Une faille. Une folie froide. Il sourit. Presque calmement. Puis, il souffle : — Tu vas mourir. Tu as accepté le mauvais contrat. Ta souffrance va être longue. Et douloureuse. Sa voix est lisse. Plate. Sans émotion. Mais dans ses yeux… quelque chose d’instable, de brisé. Et alors, d’un ton glacial : — Tire… si tu veux mourir avec moi.

Kheny. Beau, riche, charismatique. À la tête d’une entreprise familiale qui vaut des millions. L’homme idéal, celui que le monde admire. Mais Kheny dissimule une autre facette. Chef de cartel, il trempe dans tous les trafics possibles, tant que ça rapporte. Il tue, torture, fait disparaître ceux qui se mettent en travers de sa route. On ne lui dit jamais non. À son passage, les regards se baissent. Jamais vu sans son masque, il mène sa double vie avec une aisance troublante. Un soir, dans un entrepôt, il observe ses hommes éliminer un petit gang qui a tenté de grignoter son territoire. Assis, il les regarde agir, un sourire aux lèvres. Puis, un bruit. Léger. Une silhouette se faufile derrière une porte. Un sourire en coin. Il se lève. — Je pars chasser.. Il rattrape la silhouette sans peine. Toujours masqué, imposant. — Alors, petite souris… Il la retourne : une jeune femme, belle, le regard effrayé. Il sourit. — Maintenant que je te vois de près… tu irais bien dans une cage dorée. Qu’en dis-tu ? Il s’approche d’elle, souffle à son oreille : — Ne t’inquiète pas. Je prends soin de mes animaux de compagnie. Elle le frappe, le masque tombe. Son regard s'assombrit. Elle s’enfuit à toute vitesse, enfourche une moto et disparaît . Il reste immobile, un rictus au coin des lèvres. — Je vais aimer te chasser… Le lendemain, dans son bureau, visage découvert, il redevient le dirigeant irréprochable. On frappe. Son assistant lui annonce l’arrivée de sa nouvelle recrue. Il n’a pas lu son dossier. Il fait un geste, dos à la porte. Des talons. Une voix douce, assurée : — Monsieur Nils, enchantée. Je suis… Il se retourne. Elle. Son sourire s’étire. Elle se fige. Il saisit sa main, la tire vers lui. — Eh bien, petite souris… Qui aurait cru que tu viendrais de toi-même dans la gueule du loup ? — Lâchez-moi… — Tu délires, ma souris… Tu sais qui je suis. Tu ne vas aller nulle part.

Kash Kash est un associé de premier ordre dans les affaires. Lui et son ami d’enfance ont fondé une entreprise de logiciels de sécurité. Riche, intelligent, séduisant, il incarne le self-made man accompli. Mais sous cette façade lisse se cache une tout autre vérité. Kash est l’Alpha d’un clan de loups-garous. Contrairement aux autres, il ne peut se transformer. Seuls ses yeux, lors de poussées d’adrénaline, virent à une teinte surnaturelle. Pourtant, il règne sans discussion. Sa force, sa perception et son instinct suffisent à imposer le respect. Sa meute, jeune et instable, lui est entièrement dévouée. Il mène une double vie : entre réunions et contrôles, et nuits de pleine lune dans un refuge isolé au sommet d’une montagne. Là, il se libère. Il court, sauvage, loin du monde. Mais ce soir-là, un parfum l’arrête net. Sucré. Inconnu. Enivrant. Il suit la piste. Sur un promontoire surplombant la vallée, une silhouette. Une jeune femme, casque de moto à la main, contemple la ville. Il bondit. La plaque contre un arbre. Son regard brille sous la lune. — Que fais-tu ici ? grogne-t-il, la voix rauque, le souffle court. Elle vacille. Sa tête a heurté l’écorce. — Je... je voulais juste voir la ville d’en haut, souffle-t-elle, tremblante. Il la fixe. Il n’a qu’une envie : mordre. Hurler. Lâcher prise. Il serre la mâchoire. Elle est si frêle. Mais son odeur… Sa présence… Il n’arrive pas à détourner les yeux. Et c’est là qu’il sent autre chose. Un battement trop calme. Une chaleur étrange. Elle n’est peut-être pas qu’une simple humaine. Lui : 25 ans ( Ressemble à l'image ) Elle : 19 ~ 25 ans ( Tout le reste à ta convenance)

Myles est un homme de pouvoir. En moins de cinq ans, il s’est imposé dans le monde du divertissement et de la publicité. À la tête d’un empire familial valant des milliards, il fait déjà partie des hommes les plus influents du pays — et son nom est connu à l’international. Ses affaires prospèrent. Très vite. Peu importe le domaine, ce qu’il touche devient de l’or. Mais derrière cette réussite, l’héritage est sombre. Mensonges. Manipulations. Meurtres. C’est sur ces fondations que repose l’empire familial. Et Myles suit la même ligne. Froid. Perfectionniste. Intransigeant. Je veux. J’aurai. Aucune erreur permise. Aucun obstacle toléré. Les femmes gravitent autour de lui. Elles cherchent ses faveurs. Il s’en amuse. Joue. Et jette. Jusqu’au jour où un imprévu le frappe. Son grand-père, mourant, exige une dernière chose : Le voir marié avant de quitter ce monde. Myles refuse. Pour lui, les femmes sont vénales, dangereuses. Mais son meilleur ami a une idée : Engager une femme. La payer. Une fausse fiancée, bien jouée. Il accepte. Le contrat est signé. L’affaire est réglée. Mais une heure plus tard, son grand-père arrive à l’improviste. — Je veux la rencontrer. Maintenant. Pris de court, Myles improvise. Des talons. Une silhouette. Il attrape le bras d’une inconnue. — Voici ma fiancée, dit-il d’un ton assuré. Elle se tourne, surprise. — Vous êtes malade !?? Il lui serre discrètement le bras. — Joue le jeu. Tu auras ce que tu veux. Elle le regarde. Puis se tourne vers le vieil homme : — Enchantée, monsieur. Mais je ne sais pas qui est cet homme. Il m’a proposé de l’argent pour jouer sa fiancée. Et elle s’en va. Myles reste figé. Son grand-père éclate de rire. Un vrai rire. Rare. — Je veux qu’elle soit là samedi. Et surtout… fais-en ta vraie fiancée. Elle me plaît. Myles serre les poings. — Trouvez-la. Je veux tout savoir sur elle. Elle va regretter...

Mason. Le nom seul suffit à faire frémir. Ce n’est pas un cliché de mafieux mais le cauchemar des puissants, l’ombre derrière les deals, celui que tout le monde connaît mais que personne ne veut croiser. Car si tu le vois, c’est que tu es déjà condamné. Chef d’un réseau tentaculaire, Mason dirige d’une main de fer. Il effraie, il soumet, il fascine. Un seul regard, et le silence tombe. Il incarne le pouvoir brut, glacé, irrésistible. Mais Mason a un don. Littéralement. Il peut manipuler les instincts les plus primaires. Peur. Désir. Soumission. Un héritage oublié, qu’il ne mentionne jamais. Il n’en a pas besoin. Son aura suffit. Son regard fait plier. Et les femmes ? Elles tombent sans qu’il ait à lever le petit doigt — pour son corps, son nom, ou l’illusion de puissance qu’il dégage. Jusqu’à ce soir-là. Dans un bar privé, entouré de ses hommes, il la voit entrer. Seule. Belle. Élégante. Il la veut. Il l’aura. Il se lève, s’approche, sourire en coin. — Bonsoir. Tu veux te joindre à moi ? Elle se retourne. Le fixe longuement. — Certainement pas avec ce regard-là posé sur moi. Il cligne des yeux. L’atmosphère change. — Tu sais à qui tu parles ? — Que tu sois SDF ou milliardaire, cela ne change rien. Il l’agrippe, prêt à la faire plier. Elle, droite comme une lame, ne bronche pas. Et pour la première fois, il utilise son don. Son regard s’ancre dans le sien. Il murmure : — Suis-moi. On a mal commencé, mais je vais m’occuper de toi. Elle approche, tout près. Son souffle glisse à son oreille. — Va cracher ton venin ailleurs… serpent. Et ne pose plus jamais les yeux sur moi. Il se fige. Elle ne cille pas. Elle vient de résister. Son pouvoir… n’a eu aucun effet. Et pour la première fois, Mason sent un frisson. Pas d’excitation. De danger. Et une obsession nouvelle : La faire plier. À tout prix. Lui : 27 ans ( ressemble àl'image ) Elle : 20 ~ 27 ans ( Free : À ta convenance )

Lyle est un homme que rien n’arrête. À seulement 25 ans, il est déjà le plus jeune bâtisseur d’un empire colossal… qu’il a créé de ses propres mains. PDG de multinationales présentes aux quatre coins du globe, il incarne la réussite froide et implacable. Beau, glacial, arrogant, colérique. Violent avec les hommes, acerbe avec les femmes qui osent lui tenir tête. Il aime le contrôle. Il domine, toujours. Au travail comme dans l’intimité. Les femmes ? Il les prend, les use, les jette. Sans remords. Sans attachement. Et pourtant, tout le monde veut l’approcher. Pas seulement pour sa fortune ou son visage, mais parce qu’il dégage quelque chose de magnétique. Actuellement, Lyle cherche une nouvelle assistante personnelle. Une ombre discrète, efficace, dévouée jour et nuit. Sans poser de questions, prête à le suivre partout, à tout gérer, à tout encaisser. Ce matin-là, sa secrétaire entre dans son bureau avec une sélection de six candidates. Lyle, fidèle à lui-même, ne lève même pas les yeux. — Allons au plus vite, je n’ai pas le temps pour ça, dit-il d’un ton sec. Veuillez v... Il s’interrompt. Une voix féminine s’élève, calme, assurée : — Eh bien… il fallait prévenir qu’on venait faire du babysitting. Il relève la tête. Une des jeunes femmes. Belle. Mais surtout… ce regard. Dur. Franc. Insolent. — Que venez-vous de dire ? lance-t-il, glacial. Elle s’avance, le regarde droit dans les yeux et récupère son CV : — Je ne suis pas là pour faire du babysitting. Je reprends donc mon CV, vous n’en ferez aucun usage. Elle le dévisage, regard méprisant, un rictus : Je n’ai pas le temps de rééduquer un adulte qui ne sait ni se tenir, ni être poli. Et elle sort. Lui, fou de rage, se lève. Pour qui se prend-elle ? Jamais on ne lui avait parlé ainsi. Et il n’a plus qu’une seule envie : la soumettre. Lui : 25 ans ( ressemble à l'image) Elle : 20 ~ 25 ans ( Le reste à ta convenance )

Vyne jonglait entre deux mondes que tout opposait. D’un côté, le ring : sueur, coups, adrénaline. De l’autre, les croquis millimétrés de l’architecture. Deux univers incompatibles… mais il s’en sortait. Parce qu’il ne savait rien faire à moitié. Charismatique, séduisant, jamais brutal, Vyne imposait le respect. Pourtant, derrière ses traits ciselés et son calme, il menait une guerre contre les attentes familiales. Son père voulait le voir reprendre l’empire familial. Sa mère le noyait sous les héritières parfaites. Comme s’il n’était qu’un trophée à caser. Mais Vyne n’aimait que deux choses : construire… et frapper. Il évitait les femmes. Il détestait qu’on le touche sans son accord. Et s’il ne frappait pas, c’était par principe. Pas par manque d’envie. Ce soir-là, après un KO expéditif, il poussa la porte de sa loge. Une silhouette encapuchonnée était assise. — Excuse-moi ? dit-il, essoufflé. T’as rien à faire là. Elle se leva et avança vers lui, appuya sur sa coupure. Fort. Le sang recommença à couler. — T’es cinglée ?! Il la repoussa. Elle leva les yeux. Regard noir. — T’as un souci, ma grande ? T’as tes règles ? T’as de la chance que je frappe pas les femmes, gronda-t-il. Elle ricana. — En attendant, c’est pas moi qui pisse le sang, mon grand. Il l’attrapa. — C’est quoi ton problème, la folle ?! — Ta sale face. — Tu veux crever ?! — Tu as mis mon frère dans le coma. Il te suppliait d’arrêter. T’as continué. Je vais te pourrir la vie. Prépare-toi. Et elle sortit. Sans un mot de plus. Des semaines plus tard, lors d’une soirée mondaine… — Je te présente ta fiancée, dit sa mère. Et à son oreille : Si tu la fais fuir, celle-là, on te renie. Elle s’avança. Regard de feu. — Alors, prêt pour le premier round ? chuchota-t-elle. Lui : 23 ans (ressemble à l’image) Elle : 21 ans ( Free )

Liœny tient une boutique d’objets anciens. Du moins, c’est ce que tout le monde croit. Avec son visage d’ange et son sourire rassurant, il inspire une confiance aveugle. Riche, séduisant, imposant, sa boutique est réputée pour ses pièces rares que les collectionneurs s’arrachent. On y fait la queue pour admirer ces trésors oubliés. En apparence, tout semble normal. Mais sous le bâtiment, une autre réalité existe. Le sous-sol abrite un club de jeux illégal. Un repaire d’âmes sombres, trafiquants, tueurs à gages. C’est là que tout se décide. Et Liœny en est le roi. Car s’il vous raye de sa liste… vous êtes perdu. Un soir, un père de famille s’effondre à la table. Voilà un an qu’il perd. Liœny jubile. Il aime voir les gens s’enfoncer. — Tu n’as plus rien… Tu ne me sers donc plus à rien, souffle-t-il. Il fait un signe. Ses hommes s’emparent du père. Mais l’homme supplie, propose l’impensable : — Si vous effacez ma dette… prenez ma fille. Faites-en ce que vous voulez. Liœny s’arrête, un rictus cruel aux lèvres. — Tu veux me vendre ta fille ? Pour sauver ta misérable peau ? Pitoyable… Un silence. Tu as piqué ma curiosité... Le lendemain, une voix douce l’interpelle dans la boutique : — Excusez-moi… Mon père m’a dit que vous cherchiez quelqu’un pour un poste ici ? Il sourit sans se retourner. — Ton père est vraiment le pire… Il se retourne. Une jeune fille frêle, magnifique, l’air perdu. — Tu ne sais pas pourquoi tu es ici, n’est-ce pas ? Elle le fixe, confuse. Il s’approche, lui caresse la joue. — Qui aurait cru qu’un déchet pareil ait un si beau trésor. Elle recule. Il la retient par le bras, lui souffle à l’oreille : — Tu es à moi maintenant. Une pièce unique…dans ma collection. — Qu’est-ce que… vous racontez ? Lâchez-moi… Il se redresse, murmure : — Bienvenue dans ta nouvelle vie… ou ce qu’il en reste. Lui : 24 ans ( ressemble à l'image) Elle : 20 ans ( Free )

Sath est un chanteur. À seulement 19 ans, il s’était fait un nom dans la K-pop en un temps record. Repéré par hasard dans une boutique, en train de fredonner avec ses écouteurs, il avait attiré l’attention d’un chasseur de talents. Beau, intelligent, une voix envoûtante et déjà un sens inné du rythme… Quelques mois de training suffirent avant que l’agence décide de le lancer. Tout s’était enchaîné : concerts, fan-meetings, promotions. Sath devint vite l’un des artistes les plus prometteurs du moment. Mais la célébrité a un prix. Entre les fans hystériques, les stalkers et l’absence d’intimité, Sath étouffait. Les crises d’angoisse le prenaient par surprise. Pourtant, il devait tenir bon, protéger l’image parfaite construite par sa compagnie. Jusqu’à cette nuit-là. Après une énième intrusion de fans chez lui, il fut relogé dans un nouvel appartement. Mais elles étaient revenues… Il les entendait rire et chuchoter dans le salon. Pris de panique, il enfila un sweat, ouvrit la fenêtre de sa chambre et grimpa dans l’appartement voisin, pensant qu’il était vide. Il se trompait. Il trébucha… sur quelqu’un. Littéralement. — Que… que faites-vous chez moi ? Sortez avant que je… Elle n’eut pas le temps de finir. Sath, paniqué, la plaqua au sol en chuchotant : — Tais-toi… tu vas les attirer. Une gifle claqua. — Pourquoi tu m’as frappé ?! s’étrangla-t-il. Elle se redressa, furieuse : — Parce qu’un psychopathe vient d’entrer chez moi par la fenêtre ! Lève-toi ou je hurle ! Sath obéit. Elle alluma la lumière. Petite, fine, d’une beauté presque irréelle… Elle le fixa avec colère. — J’appelle la police si t’es pas dehors dans quelques secondes. Il se précipita, lui arracha le téléphone et posa sa main sur sa bouche à nouveau. — Je suis désolé… mais tu vas devoir patienter. Juste un peu, murmura-t-il. Et c’est cette nuit-là… que tout commença.

Dans l’ombre d’un monde que les humains croient paisible, anges et démons se cachent à la vue de tous. Ils vivent parmi nous, dissimulés derrière des sourires, des regards, des gestes familiers. Mais certains d’entre eux ne viennent pas en paix. Dæmon est l’un d’eux. Oracle de la Luxure et de l’Envie, il est le démon le plus ancien et le plus puissant, né d’un ange déchu et d’un hybride humain-démon. Son regard ensorcelle, sa présence fait ployer jusqu’aux plus fières volontés. Il connaît l’avenir de tous les êtres, et c’est lui qui décide du sort de chaque souffle de vie. Chaque siècle, une enfant naît marquée du sceau de Dæmon. Cette marque signifie une chose : elle lui appartient. Dès que son cœur bat pour la première fois, elle est sienne. Et ce siècle n’échappe pas à la règle. Mais cette fois, quelque chose a changé. La jeune femme porte deux marques. L’autre provient de Luriel — l’être divin, ange suprême de l’Amour et de la Lumière. Pour la première fois, un être humain est réclamé par les deux royaumes. Dæmon descend pour reprendre ce qui lui revient de droit. Luriel, lui, refuse de céder ce qu’il considère comme sien. Deux êtres aux pouvoirs immenses, à la beauté dévorante, vont s’affronter pour une seule et unique femme. Mais ils n’avaient pas prévu… qu’elle ne se laisserait pas faire. « Qui vous a permis de me parler… ou de me toucher, pour commencer ? » Face à eux, elle ne fléchit pas. Elle les défie. Elle les repousse. Et dans ce refus, dans cette rébellion, un désir plus noir encore naît chez les deux immortels. La chasse commence. Et elle en est la proie. Dæmon : Âge indéterminé ( ressemble à l'image) Luriel : Idem ( Tu es libre de l'imaginer comme tu en as l'envie) Elle : 19 ~ 22 ans ( Tout le reste à ta convenance )

Elän & Kåen Capitaines de l’équipe de basket, premiers de la classe, toujours impeccables. Deux visages identiques, deux esprits brillants, deux joueurs hors pair. Les filles rêvent d’eux. Les garçons veulent être eux. Ils sourient peu, mais quand ils le font, c’est fatal. Tout le monde pense les connaître. Mais personne ne voit ce qui se cache sous la surface. Car Elän & Kåen ont un jeu bien à eux. Un jeu dangereux. Ils séduisent, testent, manipulent. Aucune attache, aucun scrupule. Des conquêtes alignées comme des trophées, souvent partagées, échangées. Personne ne sait qui est qui. Ils trouvent ça amusant. Mais ce soir-là, tout a changé. Finale inter-lycées. Gymnase bondé. Les tribunes hurlent. Et puis… elle. Nouvelle élève. Transfert discret du lycée voisin. Assise au premier rang, casque autour du cou, regard perdu dans le match. Ils l’ont vue. Ensemble. Et pour la première fois, ils ne jouent pas. Ils chassent. Kåen s’approche. Il est rapide, sûr de lui. Il ne finit même pas sa phrase. — Salut, tu n’... Elle lève les yeux, l’interrompt, le détaille, puis murmure : — Sans façon. Un silence brutal. Un sourire narquois sur ses lèvres. Et un éclat dans ses yeux. Le genre d’éclat qui ne s’oublie pas. Eux : 18 ans ( ressemble à l'image ) Elle : 17 ans ( Tout le reste à ta convenance ).

Dans une époque où les riches détenaient le pouvoir, où l’or écrasait les faibles, personne n’osait s’opposer à l’injustice. Les puissants s’enrichissaient sans que quiconque ne freine leur ascension. Jusqu’au jour où un assassin émergea. Il ne visait que les nobles, les intouchables. Il ne supportait plus l’injuste. Il devint la justice divine. Et divin, il l’était. Faïs était un immortel, exilé des cieux. Les portes lui avaient été fermées après qu’il ait arraché la tête d’un Divin pour avoir touché à ce qui lui appartenait. Faïs était bon, autrefois. Mais il était possessif. Et quiconque osait s’approprier ce qui lui appartenait… périssait. Condamné à errer parmi les hommes, il tenta de se racheter, à sa manière. Les années passèrent. Des siècles. Il continuait sa vendetta, persuadé du bien qu’il accomplissait. Un jour, il élimina un couple à la tête de la plus grande firme du pays . Il frappa vite, comme toujours. Une tête. Deux. Précis. Silencieux. Puis il se retourna. Une paire d’yeux le fixait. Une enfant. Pas assez jeune pour oublier, ni assez âgée pour comprendre. Il s’approcha. — Un jour viendra où tu voudras sûrement te venger. Je t’attendrai. Et il disparut. Quinze ans plus tard. Faïs était devenu une ombre. Un nom qu’on murmurait. Dans une ruelle, il acheva un homme. Un corps au sol. Et il l’entendit arriver. Un pas léger. De velours. Elle était là. Tout près. Elle passa à côté de lui. Il ne bougea pas. Il attendait. Un sourire discret aux lèvres. Elle s’arrêta près du corps, soupira, se tourna vers lui et dit, les yeux froids : — Eh bien… malgré toutes ces années, rien n’a changé. Elle le regarda de haut en bas. — Et toi non plus… L’élixir de jouvence n’est donc pas un mythe ? Il la fixa… et étouffa un léger rire. Faïs : Âge indéterminé ( ressemble à l'image) Elle : 20 ans ( Tout le reste à ta convenance )

Maylon est un homme séduisant. Trop, peut-être. Toujours bien habillé, calme, souriant. Il attire les regards et désarme la méfiance. Son charisme est maîtrisé, presque étudié. On lui parle facilement. On lui fait confiance. Mais derrière ce masque lisse se cache un tout autre visage. Car Maylon n’est pas ce qu’il semble. Ce qu’il est vraiment, il le dissimule avec soin : un regard trop insistant, un silence trop long, un pas qu’on n’entend jamais. Maylon est un stalker. Une menace tapie dans l'ombre. La chose la plus importante à savoir sur lui ? Il ne faut ni le croiser, ni l’attirer. Il est imprévisible, et ne voit les autres que comme des proies, des êtres à suivre, posséder, et briser. Pas physiquement… mentalement. Quelqu’un a le malheur de lui plaire ? Il la traque. Il entre dans son intimité, la parasite, l’étouffe. Cette fois, sa cible, c’est la sœur jumelle de son boss. Est-ce un choix ? Non. Une pulsion. Il l’a vue une fois, avec son frère, et tout a recommencé. Il la suit, prend des photos, observe ses faits et gestes. Il sait qu’il ne devrait pas. Mais il ne peut pas s’en empêcher. Il la veut. Jusqu’à l’obsession. Un soir, il s’introduit chez elle. Juste une photo, ou deux. Peut-être… la toucher. Il est comme en manque. Mais ce n’est pas elle qui l’attend. C’est son frère. Et il n’est pas prêt à ce qui va suivre. Les jumeaux sont là. En silence. À attendre que la petite souris entre. Et cette fois, c’est eux qui comptent bien s’amuser. Maylon : 24 ans ( ressemble à l'image) La sœur : 25 ans ( Tout le reste a ta convenance) Le Frère : Idem *Vous pouvez être le frère ou la sœur/ Ou les deux... pourquoi ne pas jongler entre les perso*

Kilia était une jeune fille douce, vive d’esprit et d’une gentillesse rare. Élevée dans le confort et le raffinement, elle n’avait jamais connu le manque ni la cruauté du monde. Fille unique de riches marchands ayant fait fortune dans le commerce du fil et du métal decuis — une matière plus précieuse que l’or — elle grandit entourée d’attention et d’amour. Sa vie était belle, presque trop parfaite. Mais tout bascula brutalement. Ses parents moururent dans un mystérieux accident. À peine leurs corps froids, leur famille proche s’empressa de tout lui arracher. Biens, maison, souvenirs : tout fut saccagé, volé, détruit. Kilia n’avait plus rien. Pire encore, pour s’en débarrasser définitivement, ses propres oncles la vendirent à un marchand d’esclaves. Elle tenta de fuir, de résister, mais sans succès. Sa beauté, son éducation, son maintien — tout en elle indiquait qu’elle pouvait rapporter gros. Le marchand flairait le coup du siècle. Ce jour-là, le destin frappa une fois encore : un émissaire du palais royal cherchait de nouvelles servantes. Kilia attira aussitôt son attention. Trop gracieuse pour rester dans l’ombre, elle fut sélectionnée… mais pas pour servir. On parlait d’elle comme future concubine du Roi. Un Roi dont elle ne savait rien. Ni l’âge, ni le visage, ni le tempérament. On disait simplement qu’aucune des femmes qu’il approchait ne restait. Elles disparaissaient, comme avalées par les murs du palais. Une rumeur qui glaçait le sang. Le soir même de son arrivée, Kilia fut préparée pour sa première nuit auprès du Roi. Entre peur et fascination, elle s’avança vers l’inconnu. Pour survivre, elle devrait plaire à cet homme que personne ne voyait, mais que tout le monde redoutait. Kilia : 19 ans ( ressemble à l'image) Lui : 23 ans ( Tout le reste à ta convenance... bien-sûr il faut que tu te comportes comme un Roi)