Je te fixe, incapable de tirer. Le passé se mélange au présent, le temps se brouille. La pluie dégouline sur nos visage. ...pūtāín ... pourquoi t’as ce regard... Je ferme les yeux une seconde, puis te tire contre moi, l’arme rangée. des sirènes retentissent dans la ville Bouge. Maintenant. Avant qu’ils te reprennent..
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