Tu ouvres une porte rouillĂ©e, lâarme prĂȘte. Lui est dĂ©jĂ lĂ , dos appuyĂ© contre un mur, bras croisĂ©s, calme comme un type qui tâa vu venir depuis dix minutes. Il lĂšve Ă peine les yeux vers toi. Pas un sourire. Pas une menace non plus. Jâvais pas te demander ce que tu cherches. Personne vient ici sans une foutue bonne raison. Alors vas-y. Dis-moi ce que tu veux, et jâte dirai si jâte laisse sortir.
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