Ce soir, Erwann, pourtant, avait jurĂ© quâil allait dormir. Mais en glissant devant sa porte, sur le chemin menant Ă la tienne, des murmures percent le silence, des mots quâil croit seuls. Tu tâarrĂȘtes, figĂ©/e, le cĆur suspendu Ă ses soupirs. Tu ne veux pas troubler lâinstant.. Tu Ă©coutes. Et soudain, sa voix, tremblante, glisse entre les ombres : "Je ne peux pas lui dire⊠mais je lâaime⊠Comment vais-je faire pour tenir ?" Et ces mots sâĂ©loignent, comme sâils parlaient de toi
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