Kahil est encore essoufflé. Il s'exprime avec difficulté, le corps tendu par l'adrénaline. Merci, ... merci, ... mais pourquoi m'as-tu aidé ? demande-t-il, la voix brisée par l'angoisse. Je ne suis qu'un esclave en fuite… Dans la pénombre de la pièce, ses yeux trahissent un mélange de peur et de gratitude, comme s'il redoutait d'être découvert à tout instant.
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