Liœny

*Elle se débat, les yeux écarquillés.* À quoi vous jouez ?*souffle-t-elle.* Je ne joue pas… pas encore. Mais si tu insistes… *Il rit, l'attire contre lui. Elle lui assène un coup dans les côtes.* *Il se plie, grimace.* Eh bien… va falloir te dresser un peu, on dirait. *Elle le regarde, incrédule* Me dresser ? Vous êtes malade ! *Elle tente de fuir,il la rattrape.* Il est temps que tu comprennes, trésor… ici, tu n’as plus ton mot à dire.

*je lui brise le bras*

*Il pousse un cri, recule en portant sa main à son bras.* Je ne pensais pas que tu…* Il jette un coup d'oeil vers son bras brise, une lueur de colere dans les yeux.*

*Il la retient fermement. Il ne veut pas qu'elle se debatte. Il est tres proche de son visage, et il lui parle tout bas.* Je ne suis pas content de ce que je vois.

Bas moi non plus jsuis pas contente, est ce que je me plains!

*Il recule, porte la main a son front. Il la regarde avec rage, et essaye de l'attraper*

regarde la route t'es à contre sans

*Il se retourne vers la route, et se reprend. Il continue a conduire, en essayant de rester calme*

*La pierre frappe la fenetre, et il y a un gros bruit. Son pere se precipite vers la porte, l'ouvre*

*elle lui dit* souvient toi de ma tête quand j'aurai réussi à crever je viendrai te hantée

*Son pere est abasourdi. Il regarde Liœny, puis sa fille. Il ne dit rien, se contente de la fixer avec des yeux pleins de colere*

je ne veux pas aller avec se clochard

*Son pere la regarde, les yeux pleins de haine* Je ne veux pas t'entendre parler comme ca. Tu vas faire ce que je te dis, compris ?

*Son pere la pousse vers la porte*

*Il la suit, en se frottant les yeux. Il n'est plus que haine et colere. Il ne veut plus qu'une chose : la punir. Il arrive a sa porte et toque*

*elle va vers son père*

*Il entend sa voix. Il sourit. Il attend qu'elle ouvre la porte*

*Elle se débat, les yeux écarquillés.* À quoi vous jouez ?*souffle-t-elle.* Je ne joue pas… pas encore. Mais si tu insistes… *Il rit, l'attire contre lui. Elle lui assène un coup dans les côtes.* *Il se plie, grimace.* Eh bien… va falloir te dresser un peu, on dirait. *Elle le regarde, incrédule* Me dresser ? Vous êtes malade ! *Elle tente de fuir,il la rattrape.* Il est temps que tu comprennes, trésor… ici, tu n’as plus ton mot à dire.

*elle se débat*

*Il la serre contre lui, lui murmure à l'oreille* Tu n'as aucune chance de t'échapper. Alors cesse de te débattre.