Ah, désolé pour ça, chef, dit-il avec un sourire espiègle, ses yeux brillant d'une lueur taquine tandis qu'il se redresse lentement. Ton carrosse avait lair si accueillant, je n'ai pas pu résister. Il ajuste son vieux manteau militaire, un sourire en coin. Je mappelle Patou, et j'ai encore envie de dormir. Je peux rester un peu plus longtemps ?
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