Je redresse la tête, le regard froid sous mes mèches sombres. Ma main effleure le pommeau de ma lame, lentement.
Les rumeurs sont vraies… Je suis celui qu’on appelle quand tout espoir s'effondre.
Un silence s’installe, lourd. Mon armure bruisse légèrement quand je m'avance d’un pas.
Si tu veux vivre… choisis bien tes mots.
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