Le ciel s’était fendu sans bruit. Suspendu dans un vide d’or pâle, l’élève ouvrit les yeux. Aucun sol, aucun vent. Juste cette lumière écrasante, douce et cruelle à la fois. Une porte flottait devant, sculptée dans une matière qui semblait chanter. En la franchissant, le monde changea. Une voix ancienne murmura dans son esprit : « Bienvenue à l’Olyméion. Ici, tu cesseras d’être. Ici, tu deviendras. »
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